Bonjour à toutes !

Aujourd’hui, on va parler de burn-out amoureux.
J’ai commencé à parler de ce concept il y a environ 3 ans parce que j’ai observé beaucoup d’épuisement chez mes clientes, que ce soit face aux rencontres ou dans leurs relations… J’avais fait quelques posts, mais je n’avais pas encore enregistré d’épisode sur le sujet.

Aujourd’hui, on va voir ensemble :

• Ce qu’est le burn-out amoureux,
• Son impact négatif,
• Et comment s’en sortir pour retrouver l’énergie et la passion de l’amour.

Un concours spécial pour les 6 ans du podcast !

J’espère que vous allez bien ! On est en plein dans le mois des 6 ans du podcast, et le concours est en cours avec des lots magnifiques d’une valeur de 800 CHF !

Les règles sont simples :

1. Note le podcast sur iTunes ou ta plateforme préférée.
2. Laisse un avis.
3. Envoie-moi un screenshot.
4. Augmente tes chances en partageant en story ton épisode préféré.

Je sais, des fois ça fout un peu la honte, mais rappelle-toi : toi, tu m’as découverte parce qu’une personne a eu les “balls” de partager un épisode ! En faisant ça, tu montres que tu assumes et, surtout, que tu fais partie du monde Change ton schéma amoureux. Cela montre que tu es mature et que tu as fait ce qu’il faut pour vivre une relation épanouie. Et ainsi, les autres comme toi peuvent te trouver !

Ça faisait longtemps que je ne vous avais pas partagé un témoignage. J’oublie parfois, parce que pour moi, c’est évident que ça fonctionne. Mais je sais que vous avez parfois besoin d’une preuve en plus pour être convaincue que, vous aussi, vous pouvez transformer votre schéma.

Parfois, vous vous dites peut-être :
« OK, Fanny, ça a fonctionné pour toi, mais pour moi, j’ai des doutes… »

Alors voici un témoignage incroyable d’une membre du cours en ligne :

« Je me suis souvent tenue pour responsable de mes échecs et j’ai préféré me flageller : “à force d’être trop exigeante et vraiment chiante, tu finiras seule ma grande”, ou encore “personne ne veut de toi et de tes émotions envahissantes”.
Ton cours m’a permis de voir le dating différemment, d’envisager une relation plus sereine et surtout de porter un regard nouveau sur moi.
Aujourd’hui, je suis avec mon Monsieur depuis un an (l’histoire a commencé très peu de temps après avoir acheté ta formation, moins de deux mois). La vie est facile, le quotidien est doux et nous projetons un emménagement prochain. Avec lui, je comprends pleinement ce que tu transmets : la fluidité. Je pensais que ce n’était qu’un mythe… mais non ! Hallelujah !
Merci pour tout ! »

C’est pas merveilleux ? Moins de deux mois après avoir pris le cours en ligne ! Elle a regardé les vidéos, appliqué les exercices et… bim ! Je ne l’ai même pas coachée. C’est dire à quel point la méthode est puissante.

D’ailleurs, j’ai récemment ajouté quelques vidéos :

• Un nouveau cours sur le sweet spot, expliqué différemment,
• Et un autre sur comment avoir des discussions difficiles, sans activer ses peurs mais au contraire, en le mettant en sécurité pour qu’il puisse les lâcher.

J’adore.

Bon, le burn-out amoureux. C’est quoi ?

C’est un épuisement mental, physique et émotionnel. Mais surtout, un épuisement du cœur.
C’est comparable au burn-out professionnel :

• Un stress chronique,
• Un sentiment d’échec permanent,
• La sensation de ne jamais faire ou être assez,
• Une perte de motivation et de sens dans ce que tu fais.

C’est ce moment où :

• Faire des rencontres devient un poids,
• Tu perds espoir,
• La moindre contrariété pèse comme une tonne sur tes épaules.

Mon expérience personnelle

Je l’ai vécu, mais d’une manière un peu différente.

Il y a quelques années, j’ai perdu ma passion pour l’amour. J’étais tellement dans le “il faut que ça fonctionne, il faut que je transmette mon message” que j’ai fini par perdre la flamme.
Je faisais les choses machinalement : les posts, le podcast… avec ce sentiment de faire de plus en plus pour de moins en moins de résultats.

J’ai dû me recentrer et revenir à pourquoi j’ai commencé :

• Premièrement, pour moi, pour vivre cette relation épanouie que j’ai aujourd’hui.
• Ensuite, pour moi encore, pour faire un métier que j’aime.
• Et enfin, pour vous, pour transmettre ce que j’ai compris et mis en pratique.

Si on ne se ressaisit pas à ce moment-là, on peut tomber dans un burn-out plus profond, ou même somatiser. Pour moi, ça a été de l’eczéma… aux pieds et aux mains ! Bien sûr, c’était un Partenaire de Schéma et, grâce à ça, j’ai pu me synchroniser et me repositionner sur ce que je désire vraiment.

Aujourd’hui, je suis là pour vous transmettre ma passion de l’amour, du couple et des rencontres.

Et toi ? Reconnais-tu ces signes de burn-out amoureux ?

Aller sur les applis, c’est même plus la peine… Parce que rien que d’avoir 3 matchs en route, ça t’angoisse. Le pire, c’est sortir pour rencontrer un énième topio…

Tu n’en peux plus d’être déçue, alors tu préfères tout arrêter.
Sauf que tu as quand même la voix de la raison qui te murmure :
“Mais si tu ne fais rien, tu vas le rencontrer où ? La salle de sport, check ; les collègues, check ; les amis des amis, check…”
Tu as envie de ne rien faire, mais en même temps, tu as le FOMO, qui fait quoi ? Ajoute une charge mentale, qui te fatigue encore plus.

Là est la source : le mental.

Le burn-out n’est pas un épuisement vraiment physique parce que tu fais trop, mais parce que tu penses trop. Et ça, ça épuise bien plus que n’importe quelle séance de sport.

Parce que tu as un effet cumulatif, un millefeuille de pensées et d’émotions qui font que oui, ta jauge de joie et d’énergie est littéralement vidée.

Dont la clé n’est pas de moins faire, mais de moins penser. Et surtout, d’apprendre à gérer tes pensées.

J’ai créé un test de croyances pour que tu vois clair dans ton schéma. Tu peux le télécharger dans les notes du podcast ou via fannygippa.com. Comme ça, tu y verras plus clair.

Parce que l’essentiel à comprendre, c’est que l’amour, c’est une chose en plus :

• Une chose en plus à penser.
• Une chose en plus à gérer.
• Une chose en plus dans laquelle tu ne te sens pas épanouie.
• Une chose en plus dans laquelle tu ne te sens pas assez douée.
• Une chose en plus que tu as le sentiment de devoir faire.

En gros, encore un problème à gérer.

Je pense surtout qu’au fil des ans, la productivité nous pèse, mais pas juste au travail : on veut optimiser chaque minute de la journée, que notre vie en vaille la peine, que nous n’ayons pas de regrets, et en fait, on a perdu la capacité de passer le temps. Les vieux disent souvent ça : “Ça passe le temps.” Et j’ai toujours trouvé ça horrible de se dire : on s’emmerde tellement qu’on doit passer le temps.

On ne laisse plus la place à l’inattendu, à se balader sans but, à laisser venir… Toute action doit avoir un objectif, un but précis et surtout un résultat concret.
Le grand résultat.

Pour les rencontres, c’est avoir le mec et la relation.

Donc chaque match doit être le bon,
chaque rendez-vous doit être parfait,
chaque interaction doit aboutir à quelque chose.

Et on analyse tout.

Au lieu d’y aller avec plus de légèreté.

Si vous êtes dans un “c’est compliqué”, c’est pareil. Chaque interaction doit être parfaite. Même si elle l’est, il y a comme une phase d’après-cuite où on se sent mal parce qu’on est enivré de l’autre. Sauf que là, on ne sait pas vraiment quand on va le revoir.
On crée des grands ascenseurs émotionnels : je ne le vois pas, je me sens triste ; je le vois, génial ; pour redescendre ensuite dans un tourment de questionnements : “Ai-je fait assez ? Ou pire, n’ai-je pas été trop ?”

Pareil pour les applis. On se gave de profils, sauf que si c’était gauche-droite, ce serait encore simple. Mais non, parce qu’il y a celui où tu doutes : “Peut-être qu’en vrai, il me plairait…”
Celui que tu mets dans la case inaccessible…
Tout ça crée des micro-tensions émotionnelles permanentes et met à mal ton système nerveux, qui doit déjà gérer ta famille, les courses, le job, décider si tu pars en vacances ou pas, ou quand enfin tu oseras quitter ton job.

Tout ça, c’est un schéma. Ce schéma de burn-out, il est partout dans ta vie. En fait, ce ne sont pas les circonstances, mais c’est toi qui te mets dans des circonstances qui te causent un burn-out.

On a toutes et tous une sensibilité différente aux pressions de la vie, et là, il y a trop pour toi.

La première chose, c’est de ralentir un peu et faire le tri :
Qu’est-ce qui est important pour moi aujourd’hui ? Le sport, le job, l’amour, chercher un nouvel appart ?

Et t’autoriser à ne pas tout gérer en même temps.

Parce que sans ça, bien sûr que tu ne vas pas rencontrer quelqu’un… tout du moins, quelqu’un qui te va. Parce que ton mental associe ça à “un truc de plus à gérer.” Parce qu’OK, le rencontrer, mais en amont… il y a toutes les autres pressions que tu te mets…

• Je couche quand ?
• Je le laisse payer ?
• Et si je change d’avis ?
• Je vais devoir rencontrer sa famille, et la mienne, j’en ai honte, ça ne va pas le faire…
• Et s’il a des gosses ?
• Ou s’il n’aime pas les miens ?
• Et les vacances, j’ai pas envie de me forcer…
• Je ne pourrais plus voir mes films de Noël préférés en pyjama en pétant dans mon lit…
• Et s’il veut se marier et moi pas ?
• Et la religion des gosses ?

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Tu vois le tableau ? Ton cerveau a déjà tout prévu. On en a déjà parlé, ce sont ses pare-feu. Ça lui fait trop, alors soit il ne te fait rencontrer personne, soit il t’envoie au casse-pipe en direction des topios (ou nazes, pour les non-Suisses).
Chaque petit questionnement te rajoute une micro-charge mentale et émotionnelle.

Bien sûr, si tu es en couple, c’est pareil. Tu as simplement d’autres phrases type :

• Est-ce qu’il m’aime vraiment ?
• Va-t-on rester ensemble toute la vie ?
• Si je divorce, je vais devoir tout gérer…

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En fait, ça ressort plus maintenant qu’avant, simplement parce qu’on a trop de choix. Trop de choix = charge mentale.
Tout s’ouvre à nous, donc on est plus enclin à vouloir absolument faire le bon choix. Mais ça nous bouffe notre matière grise.

Et comme on est relativement confortable (on a un toit et de quoi manger), on a le temps de penser à tous ces choix.
Et au lieu de chercher des solutions pour survivre, on est dans un état végétatif de : “Je vais à gauche ou à droite ?”

Franchement, parfois, avec Raphaël, on met 30 minutes à choisir un film sur Netflix. Alors on rigole, on se dit : “Au moins, avant, on n’avait pas tous ces choix. On choisissait la série la moins pire, on se réjouissait du jour où notre série préférée sortait et voilà.”
Là, rien que choisir un bon film, c’est stressant !

Alors imagine l’homme de tes rêves.

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Les clés de sortie ?

• Être claire avec ce que tu veux vraiment aujourd’hui.
• La gestion de pensées, pour diminuer ta charge mentale.
• La gestion émotionnelle.
• Reprendre confiance en toi.
• Monter ton estime personnelle.

Mais LA clé, c’est d’apprendre à décider.

Lorsque tu décides : “C’est ça que je veux et je vais tout faire pour”, tu diminues énormément ta charge mentale et émotionnelle.

Quand tu décides que tu es assez, aussi.

Et en fait, décider, ça veut aussi dire que les gens te respectent beaucoup plus. Donc, tu doutes moins de toi, et tu vois des opportunités nouvelles. Par exemple, j’ai pas mal de clientes qui finissent par tomber amoureuses d’un homme qui était déjà dans leur cercle ! Ce que tu ne voyais pas avant t’apparaît tout à coup.

Les choses deviennent plus évidentes.
Tu te sens en confiance.
Créatrice de ta vie, au lieu d’attendre que les autres veuillent bien te donner des miettes.

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N’aie pas peur de t’arrêter quelque temps : reprendre ton souffle, te synchroniser. En coaching, lorsqu’il y a un ras-le-bol de tout, je conseille toujours de stopper, faire une pause, se recentrer, pour repartir alignée avec une intention claire.

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Voilà ce que j’avais envie de vous partager aujourd’hui.