Fanny Gippa, architecte en relations amoureuses depuis 2013, créatrice du de la méthode Change ton schéma amoureux & Partenaires de schéma et du podcast écouté par plus de 320’000 personnes.
Dans cet épisode de Change Ton Schéma Amoureux, je te parle du “syndrome de la petite fille sage” et de l’impact qu’il peut avoir sur ta vie et tes relations. Ce syndrome t’empêche de vivre pleinement ta vie idéale, car il te pousse à te conformer aux attentes des autres, à oublier tes propres besoins et à chercher constamment l’approbation. On va voir ensemble pourquoi il est crucial de t’en libérer et comment le faire sans tomber dans l’excès inverse.
Quelques points clés de l’épisode :
• Pourquoi on adopte des habitudes qui nous font oublier nos propres besoins
• Les étapes pour se libérer de ce syndrôme et se recentrer sur ses envies profondes
• Des exercices pratiques pour poser tes limites et mieux les incarner
• Les conséquences de ce syndrome sur ta vie d’adulte, notamment en termes de relations et d’estime de soi
Je partage aussi des questions que j’ai posées en coaching, avec la réponse inspirante d’une participante sur son propre parcours de guérison. Prends le temps d’écouter jusqu’à la fin, tu pourrais bien y trouver des clés pour enfin te retrouver et vivre ta vie à ton image.
Retrouve toutes les informations de cet épisode sur fannygippa.com ou dans les notes du podcast.
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Notes du podcast :
J’ai donné un exercice dans le coaching de groupe cette semaine : limite et conséquences.
Écoute l’épisode jusqu’à la fin, je te partagerai les questions que je leur ai posées et une de leur réponse parce que l’un des participante à décrit ce syndrôme.
Ce syndrôme, c’est celui de la petite fille sage.
Alors, pourquoi c’est important de se défaire de ce syndrôme ?
Parce qu’on adopte des habitudes relationnelles qui font qu’on s’oublie et qui vont pousser les autres à ne pas nous respecter.
Et un jour tu te dis merde, j’ai vécu ma vie pour les autres… finalement pour quel résultat ?
En général un résultat décevant.
Le sentiment d’avoir donné sans retour,
D’avoir été bien sous tout rapport mais pas aimée à notre juste valeur,
le sentiment d’être passée à côté de ce qui aurait pu être notre vie idéale.
Si on veut ressentir cette puissance personnelle et se sentir respectée dans toutes nos relations, on doit absolument s’en défaire. Mais attention, sans partir dans l’extrême contraire : je fais exactement ce que je veux sans me préoccuper des autres. Là on se transforme en connasse qui agace tout le monde et on se retrouve très vite seule.
Le syndrome de la petite fille sage, qui peut aussi être associée au syndrôme de la gentille fifille à son papa. Ce désir de plaire à notre père par lequel on passe quasi toute. Qui parfois peut même pousser à la concurrence avec nos mamans.
Ce qu’il est important de comprendre, c’est qu’on ne le fait jamais pour les autres, on le fait pour nous.
On veut prendre notre place. Être valorisé. On veut avoir de l’attention.
Il y a des stades différents :
ça se mesure au degré d’estime personnels qu’on à.
s’ il est à 10%, se sera l’attention de tous et toutes. Parfois même les gens avec qui vous ne voudriez même pas passer du temps.
si vous êtes à 40%, c’est vos proches..
si vous êtes à 80% c’est les figures d’autorité ou toutes personne que vous estimez être “mieux que vous“ ou qui réussi ce que vous désirez vous-même réussir.
On prend des habitudes comportementales. Liés à des habitudes de pensées qu’on nous à mis dans la tête.
“sois gentille“
“ fait un bisous à grand-mama“
“sourit“
“mets une robe“
en bref soit bien sous tout rapport, ne fait pas de vague et surtout : fait ce que les autres attendent de toi.
Soit gentille avec ta grand-mère elle est vieille… Mais quand c’est une vieille garce, y a zéro raison d’être gentille avec ! À un moment c’est bon.
Dans notre vie d’adulte ça se décline en femme parfaite au foyer, employée parfaite, amies parfaite, amante parfaite…
Et même si on à décidé de ne pas l’être, ce syndrôme est toujours sous-jacent à quelques part… tu sais lorsque tu culpabilises parce que tu ne prépares pas des goûter ultra sain bio écolo à tes gosses… c’est aussi, en partie, la gentille petite sage qui fait tout bien comme ça devrait être fait, sauf que dans ce cas là, tu rajoute la culpabilité de ne pas faire assez pour tes enfants et la planète.
Pose-toi la question : à quels moments je veux coller à ce que l’autre attend de moi ?
Il y a toujours un moment…
Maintenant, comment on atténue ce syndrôme pour se sentir enfin libre ?
Tu peux changer tes pensées, ressentir tes émotions et tout le toutime… mais, la chose qui m’a le plus ouvert les yeux, c’est de constater, que quoi que je fasse, je n’avais pas le retour espéré… en tous cas, ça n’avait pas changé leurs perception envers toi.
Alors tu peux essayer jusqu’à 30 ans, c’est honorable et bravo d’avoir tenu le coup…. mais passé ce cap…
10 ans de plus ne vont rien apporter, un peu comme le dernier verre… il ne va rien apporter de plus que les 10 précédents !
C’est là où j’ai lâché mes attentes, surtout le besoin de valorisation de ma famille et de mes amis.
Est-ce que j’ai perdu des gens en route, punaise oui. Mais en vrai, c’était un soulagement.
Parce que ces personnes, je ne me sentais pas en sécurité en leur présence.
Peur de dire un mot mal compris, peur d’être perçue comme une idiote,
La deuxième chose que j’ai perdu, ou plutôt accepté de perdre, c’est cette place de gentille fille. Attention je ne suis pas devenue méchante, on ne veut pas devenir une vieille bique aigrie non plus, mais j’accepte qu’il change d’avis sur moi.
Parce que derrière, je me sens libre.
voilà ce qu’une des participantes à répondu 👍
Haha c’est un peu mon thème du moment les limites
Je prends conscience que j’ai beaucoup de peine à les incarner et à les partager aux autres en cas de besoin. Je le fais déjà bien plus qu’avant mais ça reste assez challengeant pour moi. Aussi de voir mes limités d’aujourd’hui (post burn-out) qui ne sont plus celles d’avant burnout, elles sont changé et c’est pas facile encore de me repérer et sentir ce qui est juste pour moi et ma santé.
C’est plus difficile avec des personnes avec qui j’ai le sentiment qu’il y a un statut hiérarchique avec moi et qu’elles sont « plus élevées » (chef, supérieur, parents). Peur que l’autre se fâche, ne comprenne pas, n’étende pas, ne veuille pas, me rabaisse, me dévalorise, minimise, rejette la faute de je sais pas quoi sur moi, et je ne sais pas quoi de pas aidant pour moi. Je me sens vite paralysée/bloquée dans ces moments. Peur de me retrouver et de rester dans un conflit
Ensuite, ça va être de tester.
Quels moment je veux synchroniser à mon idéal ?
Qu’-est-ce que je suis prête à lâcher, au risque de perdre mon statut de gentille petite fille sage.
Et passer à l’action.
Prends le risque de devenir toi-même.
Si cet épisode t’as aidé, je serais ravie que tu lui mettes 5 étoiles. Sur Spotify ça prend 2 secondes et sur iTunes 1 minute parce que tu peux mettre une phrase qui décrit ce que tu aimes.
Belle semaine.
Ma méthode unique développée depuis plus de 10 ans, basée sur mon expertise, des milliers d'heures d'accompagnement clientes, les neurosciences cognitives, mis dans un processus concret. Tu vas enlever ton armure en toute sécurité pour rencontrer un homme mature émotionnellement, qui t'aimera telle que tu es, qui s'engagera pleinement dans la relation.
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