Fanny Gippa, architecte en relations amoureuses depuis 2013, créatrice du de la méthode Change ton schéma amoureux & Partenaires de schéma et du podcast écouté par plus de 320’000 personnes.

Tu veux rencontrer ton égal, vivre une belle relation…
Mais est-ce que, vraiment, tu y crois encore ?
Et si le problème n’était pas les applis, les hommes indisponibles ou ton passé…
mais le fait que ton rêve d’amour n’est plus vivant dans ton esprit ?
Dans cet épisode, je te montre :
🖤 Pourquoi tu te sabotes sans t’en rendre compte (et que ton cerveau croit te protéger)
🖤 Comment raviver le rêve d’une relation complice et sereine
🖤 Ce qu’il faut faire pour retomber amoureuse de ta vision de l’amour
🖤 Et pourquoi tout devient plus simple quand tu y crois vraiment
Je te partage une histoire personnelle qui c’est passée avec une amie célibataire.
RESSOURCES :
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NOTES DU PODCAST :
Bonjour à toutes !
Nous revoilà pour un nouvel épisode dans lequel on va parler du chemin vers l’amour — le vrai.
Vers la rencontre avec ton égal.
Au fond, qu’est-ce qui rend vraiment les choses compliquées ?
Le chemin, faire la rencontre, est devenu plus lourd que la perspective de réussite.
Ça veut dire quoi concrètement ?
Que le rêve n’est plus suffisamment sexy pour que tu aies envie de tout faire pour l’obtenir.
C’est comme si, oui, au début, il y a cette excitation, ce moment où enfin on a quitté une relation toxique,
on est fière, on se dit : ça y est, je me suis engagée envers moi-même, je suis sortie de ma zone de confort, j’ai fait ce qu’il faut…
Et on est dans une espèce de phase “lune de miel” dans laquelle l’espoir est bien vivant.
Sauf que…
les rencontres s’enchaînent, les années passent,
et le rêve devient de plus en plus flou,
comme une oasis dans le désert — un mirage.
Un truc auquel on rêvait quand on était petite,
mais que la cruauté de la vie nous arrache un peu plus chaque jour.
(Ok, je suis un peu dramatique, mais on n’en est pas loin…)
Et au lieu d’avoir ce rêve de relation idéale, complice, passionnée
qui te porte et te donne la détermination nécessaire pour dépasser toutes les adversités,
tu doutes.
Et le doute nourrit le doute.
Tu doutes que ce soit possible,
tu te dis que ça ne durera pas,
que tu vas devoir travailler dur pour garder cet homme et faire en sorte que ça fonctionne.
Et tu en rajoutes encore, encore et encore.
Aux doutes s’ajoutent les peurs :
peur de perdre ta liberté,
peur de retomber sur un homme qui ne te respecte pas,
peur qu’il te fasse du mal,
peur qu’il ne s’entende pas avec tes enfants.
Le négatif attire le négatif.
Mais est-ce que ça arrive vraiment à cause de toutes ces mauvaises expériences ?
Oui et non.
Le rêve n’a jamais été suffisamment solide et vivant dans ton esprit.
Tout comme un sol n’est pas fertile dès le départ —
tu auras beau planter encore et encore, à différentes périodes de l’année,
rien ne poussera si la base n’est pas là.
Et c’est normal :
tu ne l’as jamais vécu.
C’est compliqué d’imaginer quelque chose qui n’existe pas encore.
Parce que nous construisons notre présent sur la base de notre passé,
et de tout ce qu’on voit autour de nous.
Et tu ne le vois pas chez les autres.
Peu, voire aucun couple, ne t’inspire.
Et même moi — déjà, il faut me croire sur parole.
Et au fond, tu ne nous crois pas totalement au quotidien.
Il reste ce petit doute :
“Est-ce qu’ils sont vraiment si bien que ça ? Est-ce qu’ils ne s’engueulent jamais ?”
Et même si tu veux bien y croire,
ton esprit te dira :
“Ok, mais moi, je ne veux pas d’un homme comme Raphaël,
ni partir vivre au bord de la mer,
et en plus, c’est facile pour eux, ils n’ont pas d’enfants…”
Ton esprit fait des regroupements.
Il est un peu narcissique —
il veut prouver qu’il a raison de ne pas vraiment y croire.
Alors il cherche des preuves :
il voit cette amie qui avait trouvé la perle rare et qui finit par se séparer,
il observe les autres célibataires galérer,
et même les copines mariées se plaindre de leurs maris “inutiles”.
Je vais te raconter l’histoire d’une copine avec qui j’avais voyagé six mois en Australie.
On s’était rencontrées durant une formation en PNL —
on était toutes les deux célibataires, en quête de réponses.
Et il s’est avéré qu’on partait presque en même temps pour six mois en Australie.
On s’est rejointes là-bas,
on a voyagé ensemble,
fait des rencontres ensemble,
échoué ensemble.
Bref, la super copine célib qui vit la même chose que toi,
et avec qui tout est simple, fluide, compréhensible.
Quelques années plus tard,
quand j’ai rencontré Raphaël et qu’on est repartis trois mois en Australie,
cette amie était aussi là-bas.
Je lui ai bien sûr présenté Raphaël.
On a passé quelques jours ensemble,
et un jour, alors qu’on se retrouvait seules,
elle me dit, avec une colère à peine dissimulée :
“Non mais de toute façon, ton mec, il ne me plaît pas.”
Et là, en tant que coach, je me suis dit :
Intéressant comme remarque. Qu’est-ce que ça cache ?
Un mal-être.
Pas forcément de la jalousie,
mais une forme de :
“Moi, je n’y arrive pas,
il y a sûrement une raison,
mais je n’ai pas envie de la voir…
parce que oui, ça fait mal,
ça me fait encore plus douter de moi.
Alors je préfère me dire que je ne voudrais pas de ce qu’elle vit.”
Et ça, c’est le cerveau qui vous protège.
Parce qu’il ne veut pas que vous souffriez.
Mais au fond,
on s’en fiche que Raphaël vous plaise ou non.
Ce qui compte,
c’est que j’ai cracké le code.
Que je vis ce que je souhaitais.
Que je suis enfin dans un couple complice.
Qu’il plaise ou pas,
on s’en fiche : là n’est pas la question.
Vous devez rencontrer votre Raphaël.
Et créer le schéma de couple qui vous va.
Ce qui compte,
c’est le fond — pas la forme.
Et le fond,
c’est de ne pas y croire pour soi-même.
Vous devez retomber amoureuse de votre relation idéale.
La rendre vivante dans votre esprit.
On dit toujours que lorsqu’on décide de changer de vie,
de transformer quelque chose,
il faut que le pourquoi soit solide.
Que la raison pour laquelle on fait ce qu’on fait soit non négociable.
Il faut que tu m’écoutes pour rencontrer l’amour,
pour vivre cette relation dont tu rêves —
pas juste pour voir si ça arrive.
Reprends tout depuis le début, la base.
Fais le test qui est dans les notes du podcast.
Tu verras à quel point tu y crois (ou pas).
Parce que, quand on y croit vraiment,
le chemin devient plus facile.
On ne s’attarde plus sur ce mec qui écrit depuis six mois sans rien proposer.
On match celui qui nous plaît.
On sourit aux hommes.
On monte nos standards.
Retombe amoureuse de ta relation idéale.
Et je te le dis souvent :
c’est normal de ne pas savoir à quoi ça ressemble quand on ne l’a jamais vécu.
Alors là, c’est simple :
demande-toi ce que tu veux ressentir.
Pour moi, après mes cinquante échecs,
je voulais ressentir de la sérénité.
C’était l’émotion la plus importante.
Bien sûr, l’amour, la sécurité…
mais surtout, la sérénité.
Alors, si tu avais une seule émotion que tu veux ressentir maintenant, en couple,
ce serait quoi ?
Et chaque fois que tu doutes,
que tu as peur,
reconnecte-toi à cette émotion.
Rentre dans ce que tu veux vivre.
Ça t’aidera à lâcher le contrôle —
cette fausse illusion de contrôle qu’on croit avoir
en imaginant les pires scénarios.
Voilà pour aujourd’hui !
Belle semaine à vous. 💛
Ma méthode unique développée depuis plus de 10 ans, basée sur mon expertise, des milliers d'heures d'accompagnement clientes, les neurosciences cognitives, mis dans un processus concret. Tu vas enlever ton armure en toute sécurité pour rencontrer un homme mature émotionnellement, qui t'aimera telle que tu es, qui s'engagera pleinement dans la relation.
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