Qu’est-ce qu’on entend chaque jour sur l’amour ? Sur le couple ? 

Pourquoi il semble que l’amour, ça ne dure jamais et les 3/4 des couples finissent par divorcer ?

Aujourd’hui nous plongeons dans les 4 mythes sur l’amour.

Ce que tu vas découvrir : 

🖤 Les croyances limitantes qui sabotent ta vie amoureuse et comment les transformer.

🖤 Pourquoi certaines croyances rendent les rencontres difficiles et comment changer cette dynamique.

🖤 Comment tu peux libérer ton potentiel amoureux en remplaçant les mythes par des convictions positives.

Ce que tu vas apprendre : 

🦩 Pourquoi tes croyances actuelles te bloquent dans ta quête amoureuse, et comment tu peux les transformer pour attirer l’amour que tu désires vraiment.

🦩 Le secret pour savoir si tu es vraiment prête à vivre une relation épanouie – tu seras surprise par ce que tu découvriras.

🦩Comment défaire les mythes qui t’empêchent de faire de vraies rencontres et comment passer à l’action avec confiance pour enfin rencontrer l’homme de tes rêves.

Bonne écoute, 

Fanny.

Prochaine Conférence offerte

Découvre mon livre, mes cours. : 

Livre broché ou Kindle

Livre audio

Cours et programmes

Spécialisation schéma amoureux

Retrouve-moi sur mes réseaux et partage-moi tes réalisations suite aux épisodes :

Instagram

Facebook

Notes du podcast :

On va parler des 4 mythes les plus répandus sur les relations amoureuses. Mais avant ça, je te demande d’aller mettre un avis sur le podcast. Ça m’aiderait beaucoup et ça valoriserait le podcast. C’est comme ça que je sais que tu es là.

Alors, revenons sur ces 4 mythes. « C’est difficile, c’est des compromis, ça ne dure pas, ça fait souffrir. » Et je suis sûre que tu t’es déjà dit une de ces phrases, voire les quatre en même temps. Alors, c’est vrai, et c’est faux.

Si tu penses que c’est vrai, tu vas trouver des preuves de ça en continu. Et tu vas occulter les exemples positifs. Ou te dire : « Oui, mais c’est normal, ils n’ont pas d’enfants. Ils habitent dans un petit village, ou en ville. C’est plus facile pour eux, blablabla. »

Et donc, tu vas reproduire ces 4 mythes dans ta propre vie amoureuse. Tu vas rendre le processus de rencontre difficile. Et comme c’est difficile (puisque tu l’as rendu difficile), quand enfin tu en trouves un, tu vas faire des compromis pour le garder. Et quand tu en auras marre de faire des compromis, tu vas partir par obligation. Ou lui va partir. Et là, tu vas souffrir.

Tu vas recommencer ce cycle éternellement et l’ancrer. Ce n’est pas par magie, mais parce que tu vas développer des comportements destructeurs qui paraissent toujours normaux et anodins. Et, bien sûr, vu qu’on croit à ces croyances-là, on croit aussi aux comportements qui vont avec. Et à l’état émotionnel qui va avec.

Une question plus pertinente à te poser est la suivante : « Est-ce que ça me fait du bien de penser ça ? » En fait, non. Ça te donne l’illusion de maîtriser et c’est une protection contre cette conséquence qui, au final, te fait souffrir de toute façon.

Parce que la mère de toutes ces croyances, de ces mythes, ça fait souffrir. Donc l’important n’est pas d’avoir raison, de savoir si c’est vrai ou pas, mais plutôt : « Est-ce que j’ai envie de continuer à croire ça ? » Est-ce que j’ai envie de continuer à vivre dans un déni que j’accepte de croire encore et encore chaque jour ?

Et que j’ancre parce que je n’ai jamais appris à penser différemment. Je n’ai jamais appris à changer réellement une croyance avec conscience, intention et mise en pratique. Nous avons largement évoqué les croyances limitantes et leur impact réel.

Et on voit la différence de croyance entre les membres. La plus flagrante : celle que j’ai vue chez les membres qui pensent que c’est facile de rencontrer quelqu’un. Elles ont une file d’attente devant leur porte. Tout à coup, elles pensent que c’est facile et pouf, ça vient.

Celles qui pensent que c’est difficile, en rencontrent un ou deux par mois, voire ne rencontrent personne. Celles qui détestent Tinder et sont dessus, ne rencontrent personne. Et celles qui adorent Tinder, rencontrent des gens. Celles qui ont peur de souffrir se font ghoster. Les autres, pas.

Celles qui penseront qu’elles vont perdre leur liberté ne tombent pas amoureuses. Les autres, oui. Et j’ai mille exemples comme ça. Et cet exemple peut te parler, ou pas, parce que chaque personne a une croyance liée à un comportement, une peur.

Donc ça, on le décortique toujours ensemble. Et c’est vraiment important de le faire pour que ça ne réapparaisse pas plus tard. Et c’est donc bien la preuve que tout ça est une question de croyance. Parce qu’elles sont toutes fabuleuses, vraiment, et il y en a qui habitent dans la même ville.

Donc on ne peut même pas dire que c’est plus difficile à Montréal, à Paris, en campagne ou en ville. Ce n’est pas une question de lieu. On ne peut pas, parce qu’il y a tous les cas de figure dans tous les pays.

C’est une question de croyance. Et pour chacune, on regarde la croyance source qui cause le plus de tort dans sa vie amoureuse et, de toute façon, on voit toujours que cette croyance pose aussi des torts dans la vie de manière générale.

Petite, on croit ce qu’on voit et ce qu’on nous dit. Sans se questionner, sans se demander : « Est-ce que j’ai encore envie de croire ça aujourd’hui ? » Est-ce que c’est vraiment utile de continuer à croire ça ?

Prenons les relations. C’est des compromis. Par compromis, on peut imaginer dire oui pour regarder un film alors qu’on déteste ce genre de film. Le réel compromis réside dans le fait de se forcer, parce que sinon on pense qu’on ne partagera rien en couple, qu’il ne nous aimera pas.

Donc pour toi, c’est un compromis, car tu te forces à faire quelque chose, en pensant qu’il y aura une conséquence si tu ne le fais pas. Un autre compromis, pour les mamans solo : « Je dois aller chercher les enfants à l’école ou les amener au sport, à la danse. C’est moi qui dois le faire. »

Mais ce que tu ne réalises pas, c’est que cette croyance était déjà ancrée avant même que tu sois maman. C’est une croyance que c’est aux mamans de tout faire, et que c’est normal, et que les hommes ne font pas, ne veulent pas. Si tu questionnais cette croyance, tu te dirais peut-être : « Non, il y a des hommes qui s’occupent de leurs enfants. »

Donc, tu peux rencontrer un homme qui fait ça, parce que tu crois en ça. Et ton comportement va s’aligner avec ça. Les compromis deviennent des obligations auxquelles tu penses ne pas pouvoir échapper.

Les concessions, c’est pareil. Exemple : tu n’as pas envie d’aller à un repas de famille, ou tu as autre chose de prévu. Tu te dis : « Je dois y aller, je me force, sinon il ne m’aimera plus. »

Ou encore : « Les gens de la famille ne m’aimeront plus. » Si on va plus loin dans cette réflexion, la vie est une série de compromis. Veux-tu faire ce job de rêve, ou rester dans ce job alimentaire ?

Est-ce que tu te lèves ou tu restes couchée au risque d’être en retard ? Quand tu y réfléchis, ce sont des choix. Soit tu les fais avec conscience et légèreté, soit tu es résigné et ils deviennent lourds et pesants.

C’est comme ça que les compromis se manifestent. Et, vu que l’être humain est un rebelle par nature, on n’aime pas les compromis. Il y en a qui les adorent et vivent une vie de compromis. Ça sera OK pour eux.

Mais si tu écoutes ce podcast, ce n’est pas ton cas. Et donc, le « ça ne dure pas », parfois oui, parfois non, est-ce vraiment un problème ? Le vrai problème n’est pas la durée de la relation, c’est la pression de l’échec.

Ça ne dure pas, et la tristesse qui l’accompagne. J’entends souvent mes clientes dire : « Non mais moi, je pense qu’on n’est pas fait pour vivre avec une seule personne. » Et pour certains, oui, et pour d’autres, non. Et tout est OK.

Mais c’est une jolie croyance, enrobée dans un paquet cadeau de fausses légèretés, qui te donne l’illusion de contrôler la situation pour soulager le mal-être d’être célibataire. Oui, tu es bien célibataire, c’est génial. Mais pas besoin de le rappeler tout le temps.

Tu occultes les couples qui durent. Même si tu te dis, « Non, je n’aimerais vraiment pas être avec lui », tu vas trouver une raison pour continuer à ancrer ta croyance. Et c’est ce qui fait que ces croyances créent une combinaison gagnante pour avoir des relations qui ne durent pas.

Ainsi, tu gardes le contrôle et ça te soulage. Mais cela s’oppose totalement à l’idée de « pour le meilleur et pour le pire » qu’on nous enseigne. Bien sûr, on ne veut pas vivre le pire.

Et à force de croire à ces idées, tu crées une boucle. Il est temps de revisiter ce qui est « le pire » aujourd’hui. Et c’est un autre sujet. Mais au lieu de dire : « On verra bien, je suis avec lui », c’est ce qu’on fait dans le clean dating. On apprend à vibrer cette énergie, celle qui t’amène à une relation durable.

La mère de ces croyances mythes t’a fait souffrir. Peut-être. Mais je te garantis que ces trois mythes te causent bien plus de souffrance sur toute une vie qu’une simple séparation.

Et bien sûr, tu veux éviter la souffrance, c’est normal. Moi aussi, je n’aime pas souffrir. Mais une rupture, ça se gère. Et si tu commençais à croire que l’amour, c’est génial et ça donne des ailes ?

Tous ces mythes sont en réalité un moyen d’éviter des émotions que tu ne veux pas ressentir. C’est une protection. Et tu y es réceptive sans avoir connaissance de toi.

Le problème n’est pas de rencontrer le bon. Ce n’est pas de se perfectionner dans le self-love. C’est de te connaître. C’est aussi simple que ça.

Dans le programme, on identifie et on change ces croyances limitantes. Avec la bonne croyance, adaptée à toi. Parce qu’elles sont différentes pour chacune de nous.

Les affirmations positives ne fonctionnent pas pour tout le monde, car elles ne sont pas adaptées à ton langage. Ce que tu apprends dans le programme, c’est à ressentir tes émotions et à ne plus réagir pour les éviter.